Bien que l’idée de vivre sans nuire aux animaux existe depuis des millénaires, ce n’est devenu techniquement possible qu’à partir du 12 décembre 1947, date de la découverte de la vitamine B12. Aucun animal ne la synthétise, faute de posséder les enzymes nécessaires. Les bactéries constituent le point de départ de ce nutriment pour l’ensemble de la chaîne alimentaire.

Les systèmes digestifs de certains animaux permettent une symbiose bactérienne adéquate, mais pas ceux de l’espèce humaine, dont les besoins extrinsèques ont longtemps reposé sur la consommation d’animaux symbiotiques (et de leurs prédateurs). Tous les autres besoins nutritionnels peuvent être satisfaits par une alimentation végétale. L’espérance de vie des véganes est au moins égale à celle que promettent les alimentations conventionnelles les plus prudentes.

L’espèce humaine était dépendante de la chasse, puis de l’élevage. La découverte de la vitamine B12 nous offre la possibilité de nous libérer de cette condition initiale. La liberté s’arrêtant là où celle des autres commence, l’espèce humaine n’a plus la légitimité d’utiliser les animaux. Pour les animaux, les véganes brisent la chaîne alimentaire en s’approvisionnant directement à la source originelle de la vitamine B12 : les bactéries.

L’exemple d’une santé optimale conditionne le développement du véganisme. Ce site publie donc les meilleures pratiques concernant la mise en œuvre d’une alimentation végétale, avec la sécurité des personnes pour priorité.

Grâce au système de consensus des comités scientifiques institutionnels, les meilleures recommandations officielles mondiales présentent une garantie de sécurité pour la santé des individus à tous les âges de la vie. Ce site propose toutefois des explications plus approfondies, afin de satisfaire les demandes d’information qui nous ont été adressées.

Meilleures recomandations institutionnelles mondiales

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